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PBP 2019 |
PLAN DE ROUTE (page maj le 30/09/2015 ) | |
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En 2003 au premier lever du jour Cliquez sur l'image pour l'agrandir
En 2007 le PBP le plus mouillé de son histoire Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Les médailles de super randonneur
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quelques heures avant le départ en 2003
Cliquer sur l'image pour l'agrandir Précision: de nombreux participants partent sur pbp comme à l'aventure, roulant et se reposant au gré de leur forme, de leur tension nerveuse et de leur besoin de sommeil. Ils terminent ainsi en plus ou moins d'heures mais en général pas très "frais". Ce que je propose ci-après vise à éviter cette situation. Le plan de route ou comment répartir son temps entre la progression à vélo et les arrêts pour consommer au mieux les 90 H, et rouler le moins possible de nuit, le but étant de profiter au mieux du peu d'heures disponibles pour le sommeil, au moment où par nature on doit dormir. Cliquez ICI pour voir mon plan de route aller de 2007 et LA pour le retour.
Les éléments à combiner sont les suivants: . Réussir PBP c'est arriver avant le terme des 90 heures, d'où l'idée d'exploiter au maximum le temps mis à disposition. . La première nuit étant blanche du fait du départ en soirée, et c'est là un sérieux handicap pour la suite, il faut s'arrêter les nuits suivantes en coïncidence avec un de ses propres cycles de sommeil (3 à 4 H) pour avoir une chance de s'endormir et de bien dormir. Sommeil lent = récupération physique, sommeil paradoxal = récupération mentale . Dormir la nuit donc rouler de jour, le PBP peut être divisé en plusieurs "randonnées d'un jour" . Pour que le retard dans une "randonnée d'un jour" ne décale pas la suivante, il faut définir pour chaque jour l'heure du départ matinal et viser à s'y tenir. . Le plus gros de la fatigue accumulée au cours de chacune de ces "randonnées d'un jour" doit être récupéré au maximum pendant le temps d'arrêt de nuit, donc être capable d'une vitesse de progression suffisante pour prendre de l'avance sur la fermeture des contrôles et ainsi capitaliser un temps d'arrêt suffisant la nuit. REMARQUE IMPORTANTE: Le départ 2011 a été donné en milieu/fin d'après midi soit plusieurs heures plus tôt que sur le planning ci-dessous. Pour se recaler sur les nuits il était nécessaire de faire une première étape plus longue. Dans ce but un couchage avait été organisé à St Nicolas du Pelem (environ 500ème km donc y compris Loudéac-Corlay qui est un tronçon difficile). A retenir aussi qu'un départ libre vers 21 - 22h était organisé mais pour un nombre limité de participants, le planning ci-dessous est dans ce dernier cas valable. En se basant sur un départ dans la dernière vague des 90H (20 H 30 ?) ou un départ libre à 21H on peut viser le découpage suivant: La première randonnée R1 (450 km, départ J1 en fin d'après midi entre 20 et 22 heures) nous conduira jusqu'à Loudéac où nous pouvons espérer arriver J2 avant la tombée de la nuit. La deuxième randonnée R2 (320 km, départ J3 à 3 heures du matin) nous amènera jusqu'à Brest puis retour à Loudéac où nous pouvons espérer arriver en début de nuit (minimiser les arrêts sur cette étape plus difficile). La troisième randonnée R3 (310 km, départ J4 à 4 heures du matin) nous amènera jusqu'à Mortagne où nous pouvons espérer arriver, cumul de fatigue oblige, au milieu de la nuit. La quatrième randonnée R4 ( environ 150 km, départ J5 seulement à 6 heures du matin pour compenser l'arrivée tardive à Mortagne) nous conduira jusqu'à St Quentin en Yvelines où nous pouvons espérer arriver en début d'après-midi. (pour un départ à 21 H, l'heure limite est 15 H)
En résumé pour chacune de ces "randonnées d'un jour", on part à l'heure prévue et on arrive "quand on peut", selon les aléas de la forme et de la météo. On ne s'occupe que de la randonnée en cours, on ne pense à la suivante que lorsqu'on a fini la précédente. Ce découpage conduit à un total de 16 à 20 heures de route de nuit y incluse la première nuit blanche (référence à utiliser pour prévoir ses piles pour ceux qui ne sont pas équipés d'une dynamo) Au cours de R1 il y a 4 contrôles (Villaines, Fougères, Tinténiac et Loudéac), au cours de R2 il y a aussi 4 contrôles (Carhaix, Brest, Carhaix, Loudéac), au cours de R3 il y a encore 4 contrôles (Tinténiac, Fougères, Villaines, Mortagne), enfin au cours de R4 il n'y a que 2 contrôles (Dreux et l'arrivée).
Un arrêt intermédiaire à un contrôle peut durer une heure (contrôle, hygiène rapide, restauration, court repos, plein des bidons, ravitaillement pour la route), les moins rapides devront chercher à ne pas les prolonger inutilement au risque d'avoir à rogner à la fin de la journée sur le temps de repos de nuit.
A l'aller le "peloton" n'étant pas encore suffisamment étiré, les queues aux selfs sont longues (prévoir de quoi manger à l'aller), mais redeviennent normales au retour, il en est de même pour l'accès aux dortoirs. |
